POUR DIFFUSION IMMÉDIATE
Ottawa, le 27 mars 2015
La Cour suprême du Canada a tranchée aujourd’hui qu’Ottawa était dans tous ses droits de détruire toutes les données contenues dans son registre des armes à feu (non-restreintes et non-prohibées). Ce qui fait en sorte qu’il n’y a maintenant plus obligation d’enregistrer ou d’effectuer de transferts des armes d’épaule (armes à feu longues) au Québec et ce, jusqu’à nouvel ordre.
Le Québec, qui voulait conserver ses données afin de créer son propre registre, a perdu sa bataille car les données seront supprimées définitivement dans les prochaines heures. Il sera donc bien difficile et très couteux de mener à terme un projet d’une telle ampleur suite à cette décision du plus haut tribunal au pays.
Pour plusieurs détaillants québécois d’armes à feu, surtout en bordure des lignes ontariennes, cette nouvelle est un lourd poids qui est finalement soulevé. En effet, leur commerce a été grandement affecté par cette incertitude qui faisait en sorte que les clients ontariens avaient cessés de magasiner chez eux depuis l’abolition du registre par le gouvernement conservateur en 2012.
« C’est une grande et excellente nouvelle pour nous! » a dit Daniel Larocque, propriétaire de la Boutique L’Archerot à Gatineau lors d’une entrevue avec l’agence de sites web et marketing d’Ottawa, SEO TWIST (www.seotwist.com), qui a récemment conçu et lancé le nouveau site web et l’image de marque de la Boutique plus tôt ce mois-ci (www.larcherot.com). « Nous allons maintenant pouvoir enfin dire à nos clients ontariens qu’ils peuvent venir acheter des armes à feu chez nous et ce, sans avoir à effectuer d’enregistrement à Miramichi ».
L’Archerot est la boutique de chasse la plus ancienne à Gatineau qui offre des produits de qualité supérieure dans l’archerie et les armes à feu. « Cette nouvelle ne pouvait être plus à point ! Elle tombe pratiquement en même temps que le lancement de notre nouvelle image de marque, notre nouveau site web et notre campagne de marketing 2015 qui visait entre autre le marché ontarien » a continué M. Larocque.